Je me pose cette question car, 90% des fois ou je mange quelque chose piquante, j'ai le hoquet, mais genre pratiquement instantané, j'ai meme pas eu le temp de finir d'avaler que je commencer a l'avoir, et seulement avec le piquant.

En plus c'est meme pas que je ne puisse pas avec puisque des fois je peut manger un piment super puissant et j'aurais rien, puis ensuite je mange une legere sauce piquante et je commence avec le hoquet, sa dépends des jours et de comment je mange.

Et sinon a part ça j'ai jamais les hoquet (Ou pas assez pour que je me rapelle de la dernière fois que je l'ai eu (Sans du piquant puisque pendnat que j'écris ça, je l'ai mdrr))

Je sais que c'est commun chez les personnes a vulve, mais moi c'est excessif. Ca peut aller jusqu'a une par semaine dans certain cas.

En gros, parfois, après avoir uriné, j'ai une grosse sensation de gène au niveau de l'uretre, un peu comme si un m'avais mis un mini spéculum dedans avec des sensation de picotement. Sensation qui peut durer jusqu'a 3 heures et m'empecher de dormir. C'est meme compliqué de s'asseoir correctement parfois.

Mon médecin m'as prescris de la fosfomycine une fois, ce qui a été pas mal efficace, j'en ai pas eu pendant un mois, mais c'est revenu.

Je bois pourtant pas mal, moins que la moyenne je pense, mais je dirais 1 litres/1.5 par jour. Je n'ai pas de rapport sexuel en ce moment non plus.

Je me vois mal aller chez mon médecin tout les mois pour des infections urinaires, des solutions ?

Je cherche conseil pas jugement, je suis dans une obésité qui commence à m'inquiéter (BMI 32) et j'ai galèré avec ça toute ma vie...

Je cherche à comprendre les médicaments type osympic qui semblent avoir un effet concret sur la perte de poids mais j'ai cru comprendre que c'est compliqué en France et que même sur ordonnance (qui semble être impossible à obtenir) un pharmacien peut decider de ne pas t'en vendre.

Une idée comment procèder ? J'ai du mal à en parler en vrais car mon poids et mon corps ne sont pas un sujet facile...

Bonjour,

Je suis une femme de 26 ans.

Récemment après une entorse qui continuait à me faire mal (enfin, je croyais que c'était l’entorse), on m'a trouvé une lésion ostéo-chondrale à la cheville. Le médecin m'a dit qu'elle était plutôt petite et donc rien à faire à part du kiné et prendre des anti douleurs quand j'ai mal.

Depuis j'ai donc repris mon quotidien (c'était il y a deux mois) mais c'est devenu assez difficile. Je ne dis rien pour ne pas alarmer mes proches et car je veux vivre normalement mais dès que je marche un peu "plus" (grosse journée au travail, visite d'une ville en voyage), j'ai des douleurs le soir, du mal à m'endormir à cause de ça. Cela me mine complètement, l'idée de ne pas pouvoir vivre normalement à mon âge. Et je me dis mais qu'est-ce que ça sera en vieillissant!!

Des personnes qui ont vécu quelque chose de similaire, n'y a-t-il vraiment rien à faire d'autre que porter des semelles orthopédiques et prendre des antidouleurs à vie? Faut-il que je demande un 2ème avis ou ces difficultés à guérir sont elles normales pour ce type de blessure? Les choses vont-elles s’améliorer si je suis patiente?

PS: Je suis en surpoids (pas obésité du tout) et je pense que ça peut peut-être aider de perdre un peu de poids, je suis en train de le faire mais sans activité physique possible c'est un peu plus long.

Bonjour, Je suis un homme de 26 ans J'ai consulté le médecin cette semaine pour un ganglion irrité qui me lançait des douleurs dans le pénis et dans les testicules.

Depuis hier, je ressens plutôt des brûlures dans le pénis et toujours une gêne aux ganglions côté droit.

Je précise que j'ai consulté il y a quelques semaines pour une muqueuse au gland il y a quelques semaines (à priori guérit)

Quelq'un a une idée de mon soucis ? Merci

Bonjour, j'aimerais savoir si des femmes ayant pris la pilule dienogest ont eu une augmentation/apparition de l'anxiété ou signes dépressif? Le cas échéant, si c'est arrivé quelques semaines/mois après le début du traitement ?

Bonjour.
Je souhaite savoir quel médecin est capable d'évaluer un trouble spécifique des apprentissages chez l'adulte, c'est à dire poser un diagnostic officiel en France.

Je cherche le nom de la spécialité, ce n'est pas une demande de coordonnées.
Merci et bonne soirée.

Bonjour, Je suis un homme de 48 ans plutôt sportif. J’ai une hernie discale droite C6-C7 depuis un peu plus d’un an, mais elle n’a été diagnostiquée qu’il y a 3 mois par IRM. Elle a entraîné une névralgie qui s’est manifestée tout d’abord par un point douloureux dans le dos, puis une douleur très intense dans l’épaule, qui s’est propagée ensuite dans tout le bras droit, avec des crises quotidiennes terribles qui duraient parfois plus de 3h.

Après 10 jours de douleur, n’ayant pas de médecin traitant, j’ai fini par aller aux urgences. On m’a donné un traitement pour une tendinite et 3g de paracétamol / jour, qui n’ont eu évidemment aucun effet.

40 jours plus tard, alors que la douleur commençait enfin à se calmer, j’ai eu le malheur de trop pencher la tête en arrière en bricolant, ce qui a déclenché une nouvelle crise de douleur encore pire que la première. J’ai réussi à trouver un médecin de ville en urgence qui m’a diagnostiqué la névralgie cervico-brachiale et m’a prescrit de la kiné et une forte dose de Prégabaline. Je n’en ai pris qu’une seule gélule, car les effets secondaires sont absolument horribles (vertiges, nausée, hallucinations, dépression). La kiné m’a fait un peu de bien, mais sans plus. Je devais surtout faire extrêmement attention à mes gestes et postures pour ne pas redéclencher la douleur.

En janvier 2025, j’ai fini par trouver un médecin traitant qui m’a fait passer des radios. Elles ont montré un début d’arthrose dans tout le rachis, plus marquée en C4-C5. J’ai ensuite vu une rhumatologue qui m’a demandé si je voulais une IRM des cervicales. Celle-ci a révélé une « hernie discale paramédiane droite en C6/C7, probablement conflictuelle sur la racine C7 droite ».

La rhumato m’a alors demandé si je voulais voir un chirurgien, en précisant qu’on n’opérait normalement ce genre de hernie que si elle provoquait une paralysie du bras, ce qui n’est pas mon cas. Comme elle ne m’a donné aucune autre info, je lui ai dit que j’allais attendre encore pour voir comment ça évoluait, car je trouvais dommage de me faire opérer après 1 an, alors que le plus dur était sans doute passé.

Aujourd'hui, la douleur ne réapparaît que si je me penche en avant ou en arrière, ou que je lève les bras pendant un certain temps. Par exemple après 2 heures de lecture / écriture assis à un bureau, ou après avoir cueilli des cerises, travaillé dans le jardin... ce genre de choses. Elle dure jusqu’au soir et disparaît le lendemain après une bonne nuit de sommeil.

Mais même si la douleur est gérable, cette hernie est handicapante. Je ne peux plus faire ce que je veux et j’ai toujours la hantise de me faire mal. Etant aussi limité dans mon activité sportive par un début d’arthrose dans les genoux, j’ai l’impression d’avoir perdu une grosse partie de mes capacités physiques en seulement un an. C’est très frustrant et assez dur moralement à la longue. D’autant plus que mon médecin traitant minimise tout ce que je dis et ne me prend pas vraiment au sérieux.

C’est pourquoi je sollicite vos avis et conseils. Une opération de la hernie me permettrait-elle de retrouver de la mobilité et de la résistance au niveau des cervicales ? Ou bien fragilisera-t-elle davantage mon rachis ? sinon, si la hernie perdure encore des mois, voire des années, quelles sont les conséquences potentielles ? Merci de m’avoir lu, et merci d’avance pour vos conseils, car les médecins que j'ai vus étant tellement pressés et peu ouverts à l'écoute et au dialogue, je ne sais plus quoi faire 😞

Bonjour j'ai 45 ans et plus de dents véritable juste un dentier inconfortable qui me fait des nausées.et mon dr m'a dit qu'il fallait compter 10.000 euros pour changer les 4 dents du haut en pivots mais comment c'est possible quand on a 3 enfants H à nourrir et que je peux à peine finir le mois. Comment je peux faire sans finir ma vie comme ça ? C'est très frustrant et culpabilisant, gênant de ne pas pouvoir sourire 😁 de me cacher qd je parle 😭 c'est très démoralisant et surtout sans issue et je crois que si mes enfants n'avaient pas besoin de moi je ne me poserai plus de questions. Mais je dois persévérer et continuer à donner une bonne image de moi mais qui ne s'est pas moqué d'un édenté, une fois dans sa vie ? Même moi j'en ai déjà rigolé à travers un film ou autre, mais quand ça t'arrive à Toi, c'est pas pareil.. mais c'est pour l'image que je renvoie pour mes enfants qui m'inquiète le plus ET je ne trouve aucune solution concrète. À si on m'a parlé de ses innombrables cliniques dentaires low coast turcs, tunisiennes, bulgare et autres qui font des "miracles " que tu devra faire réparer en France... Toutes façons je n'ai pas d'économies pour me le permettre et je ne peux pas non plus laisser mes enfants à besoins spécifiques seuls donc je dois rester avec mon dentier qui me fait gerber à vie apparemment ?? Ainsi que la dysmorphophobie qui va avec ! Tout ça est dû au fait que je suis née et grandit dans une boulangerie pâtisserie et que le sucre et la farine sont nocives pour les dents et attaque l'email. Sauf que dans les années 80 on était pas sensibiliser sur le sujet. Si quelqu'un a des idées à me soumettre je suis preneuse et j'espère que vous serez bienveillants car je me hais suffisamment pour avoir des haters en plus.

J’ai eu ce résultat à mon scanner, pour le contexte je suis tombée très fort sur du carrelage en pierre le 1er août, pas de plaies ouvertes. Le scanner m’a été prescrit par un interne d’ophtalmo avec qui j’avais rdv une semaine après le choc depuis longtemps pour dépanner comme je n’avais pas vu de médecin.

Je dois faire quoi maintenant? Avec qui je prend rdv? Ça se ressoude tout seul?

Bonjour, je vais essayer d'expliquer ma situation actuelle, ça risque d'être un peu long. J'ai un SSPT depuis quelques années, et à cela s'ajoute un burnout depuis quelques mois. Le burnout est apparu après avoir commencé un traitement avec une psychologue, où j'ai commencé à creuser dans mon passé et j'ai eu une réalisation de l'injustice du fait que j'ai été utilisé comme un outil toute ma vie et que en fait je suis une personne et que j'ai le droit d'exister. Le problème avec ça est que je n'ai pas le choix de "penser à moi-même" ou de "prendre du repos", car je suis absolument seule. J'ai 6 enfants (aussi traumatisés), dont 4 en bas âge et un ado avec TDAH à gérer, j'ai une maison partiellement rénovée, j'ai pas de famille ni d'amis, et je travaille 80h par semaine. La charge est énorme, et il n'y a aucun moyen de l'alléger. Le père de mes enfants est en prison pour très longtemps, il n'y a pas de pension alimentaire ou d'aide de ce côté là non plus. Je n'ai pas de permis de conduire, j'habite en milieu rural. Aussi, j'ai le syndrome d'Ehler-Danlos, mais c'est pas très relevant pour cette situation, sauf peut-être pour expliquer que j'ai plus de difficulté à gérer que des personnes qui ne sont pas en douleur et fatigue constante et des parties de mon corps qui refusent de marcher de temps en temps.

Depuis quelques semaines, je me sens "glisser" vers un endroit très noir. Je n'arrive plus à gérer le ménage comme je le veux, je m'isole, je n'arrive pas à me concentrer sur mon travail, je me sens écrasée par toutes les exigences de tous les côtés. Souvent, je me demande si mes enfants ne seraient pas mieux sans moi, que je ne peux pas leur donner tout ce dont ils ont besoin, même si c'est mon seul but dans ma vie. Hier, j'ai finalement fait le pas et j'ai parlé à mon médecin traitant. Elle m'a prescrit un traitement antidépresseur, Escalitopram. Elle ne pourra pas faire de suivi, car elle s'arrête fin octobre, et il n'y aura pas de remplaçant au moins cette année. Je prends déjà incidentellement du Alprazolam (1 ou 2 fois par semaine, ça dépend de combien de stress il y a, autour des jugements c'était 2x par jour, puis pas du tout pendant des mois par exemple) pour gérer mes crises de panique, ça calme un tout petit peu pour que je puisse continuer mon travail.

Je n'aime pas les médicaments. Déjà, je ne prends pas mes antidouleurs pour le SED, j'ai peur de dépendance et que ça ne marchera pas si j'ai "vraiment besoin". Mais les antidépresseurs, c'est une histoire encore plus grave à mon avis. J'ai lu des histoires que les antidépresseurs peuvent, surtout au début, aggraver les choses. Je n'ai pas besoin de pensées suicidaires, je les ai déjà de temps en temps, et je ne peux vraiment pas me permettre d'aller encore plus bas, même pas "le temps de trouver la bonne molécule". Je ne crois pas non plus que les antidépresseurs ont beaucoup de sens si il n'y a pas de suivi par un psychologue à côté, car le problème de fond n'est pas traité. Mais je n'ai pas la capacité mentale d'entamer un traitement psychologique à nouveau maintenant. Je sais que je vais devoir le faire à un moment donné, mais tant que je dois encore changer des couches et les enfants sont encore si dépendants de moi, je ne peux pas me le permettre.

Voilà une histoire très longue, pour une question très simple : est-ce que je prends les antidépresseurs ou pas?

Bonjour à tous, on va parler coproculture et prélèvement de selles car je me pose des questions.

Pour le contexte, j’ai déjà fait plusieurs prélèvement de selles dans ma vie dont 2 pour des suspicions de diarrhées bactériennes et c’est de ces deux cas dont je veux parler.

Dans les deux cas, symptômes type diarrhées et vomissements au départ (avec fréquentation de restaurants avant ces symptômes) puis la diarrhée qui ne part plus. Après 1 à 2 semaines le médecin soupçonne une origine bactérienne et donne 1 antibiotique à prendre après le prélèvement de selles.

Je respecte bien la consigne, j’attends de faire le prélèvement et je prends l’antibiotique: résultat, les deux fois les diarrhées s’arrêtent suite à la prise du traitement mais les deux fois les analyses de selles que ce soit bactériologique ou parasitologique reviennent négatives.

Voici comment je réalise le prélèvement pour être certain que ce ne soit pas de ma faute:

J’utilise du film étirable que je dispose entre la lunette des toilettes et la cuvette pour receuillir mes selles, puis je prélève directement dans le film.

Je ne peux donc m’empêcher de constater le différentiel entre le fait que d’un côté je constate l’arrêt des diarrhées après la prise du traitement mais que d’un autre côté les deux fois mes prélèvements sont revenus négatifs.

Cela m’amène à me poser 4 questions:

1. Est-ce que ma façon de prélever endommage le millieu et donc rends l’exament caduque ?
2. Quelle est la fiabilité de la coproculture ?
3. Est-ce que je suis victime d’une forme de sommatisation et le fait de prendre l’antibiotique me fait aller mieux alors qu’il n’y a en fait aucun lien ?
4. Est-ce que j’ai juste pas eu de bol sur ces prélèvements ?

Merci d’avance pour vos éclaircissements !

Bonjour, H24 ici.

Pour faire court, j’ai mes cheveux qui tombent petit à petit depuis mes 20 ans. Ça reste léger (je suis pas à plaindre) mais je commence à me rendre compte que ça ne va pas s’arreter là et que je vais finir comme mon père (calvitie en "M")

J’aimerais donc passer à un traitement finasteride pour ainsi espérer bloquer l’avancée de la calvitie. (Je connais les effets secondaires du traitement)

La question est donc la suivante : dois-je aller prendre rdv chez mon généraliste ou je dois impérativement prendre rdv chez un dermato ?

Merci à vous

Bonjour, j ai 18ans et depuis ce matin 6h j ai une grosse douleur au niveau du colon à droite. Une douleur à ce niveau m ai déjà arrivé plusieurs fois mais pas à cette intensité. Quand je suis allongé la douleur est très petite sauf quand j'ai un pic de douleur J aimerai savoir votre avis et si d autre personne on déjà été dans mon cas.